Tomber enceinte : Les meilleurs conseils lorsque le désir d’enfant se fait sentir
L’odeur indescriptible de la peau de bébé, leurs cils si fins et le peau à peau magique sur la poitrine de papa ou maman : si la simple évocation d’un nouveau-né fait naitre en vous l’envie irrésistible d’avoir votre propre trésor à chérir, vous êtes définitivement touchée par le désir d’enfant. Faire un enfant, être témoin du miracle de son développement dans le ventre de la maman, donner la vie et finalement tenir son trésor dans les bras est un besoin naturel pour de nombreux couples. Cependant, comment mettre toutes les chances de son côté pour tomber enceinte et que faut-il savoir lorsque le désir d’enfant se fait sentir ?
Planifier une grossesse
Désir d’un (autre) enfant
Bon à savoir : ce qu’il faut éviter si vous souhaitez tomber enceinte
Est-il nécessaire d’établir un plan pour tomber enceinte ?
Conseils pour tomber enceinte
Difficultés à tomber enceinte
Planifier une grossesse à risque
Clinique de la fertilité
Questions courantes sur le désir d’enfant
Avoir un enfant : oui ou non ?
Avant de planifier une grossesse, il faut d’abord se poser une question essentielle : avons-nous réellement envie d’avoir un enfant ? La réponse à cette question est évidente pour de nombreux couples. Toutefois, ce n’est pas toujours le cas, car l’arrivée d’un bébé implique de nombreuses responsabilités. Il s’agit d’une décision importante qui implique de nombreux changements dans la vie de couple, c’est pourquoi le désir d’enfant ne va pas toujours de pair avec la planification d’une grossesse.
Il faut d’abord s’assurer que les deux principaux concernés souhaitent effectivement avoir un bébé ! Ensuite, vous pouvez passer à la véritable planification, avec tous les espoirs que cela comporte.
Désir d’avoir un (autre) d’enfant
Le désir d’avoir un premier enfant, et ensuite un petit frère ou une petite sœur pour celui-ci, est très répandu et la majorité des personnes partagent cette envie. Même si de plus en plus de couples décident de ne pas avoir d’enfant, pour des raisons financières, écologiques ou autre, l’envie d’engendrer une progéniture est toutefois présente.
Pour certains couples, le désir d’enfant se fraie un chemin insidieusement, un jour, ils réalisent que tous leurs amis ont des enfants, par exemple. Ils se surprennent à poser des questions sur les porte-bébés, poussettes et autres vêtements pour bébé. Une fois le bébé d’un ami posé dans leurs bras, ils n’ont plus envie de s’en séparer. Ils imaginent alors de plus en plus souvent à quoi ressemblerait leur vie avec un enfant à eux.
Pour d’autres couples, il a toujours été clair qu’ils auraient des enfants un jour. Peut-être que vous avez déjà des enfants, que vous avez toujours été ouvert(e) à l’idée d’avoir d’autres enfants ou au contraire que vous pensiez en avoir fini avec les couches et soudain, le désir d’un autre enfant se fait sentir.
Cependant, il faut garder en tête que l’arrivée d’un enfant chamboule toute la vie d’une famille, surtout lorsqu’il s’agit du premier né. Les petits trésors dépendent fortement de leurs parents les premières années. Cependant, affronter les nuits entrecoupées et autres petits désagréments est un faible prix à payer pour accueillir un bébé dans son foyer.
Bon à savoir : à quoi faut-il prêter attention lorsque le désir d’enfant se fait sentir ?
Certains couples ne rencontrent aucune difficulté à tomber enceinte : ils arrêtent de prendre la pilule ou d’utiliser des préservatifs et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire les deux barres s’affichent sur le test de grossesse.
Toutefois, ce n’est pas toujours aussi facile. Au contraire, la fertilité diminue avec l’âge chez les hommes et les femmes. Avec la durée des études et le souhait de lancer sa carrière, il est de plus en plus fréquent de devenir parent pour la première fois après 30 ans, ce qui signifie que les futurs parents ne se trouvent déjà plus dans la période de leur vie la plus fertile. À chaque apparition des règles, l’espoir d’avoir un bébé rapidement diminue et la pression sur le couple se renforce. Tomber enceinte peut prendre un an sans qu’il y ait de problème sous-jacent.
Vous avez envie d’avoir un enfant ? Nous vous indiquons à quoi vous pouvez prêter attention. Rien de tout cela n’est obligatoire, vous pouvez le faire, mais vous n’y êtes pas contraints. Après l’arrêt d’un moyen de contraception hormonal ou le retrait d’un stérilet, il faut laisser le temps au corps de se stabiliser à nouveau. Pendant les premiers cycles, ne vous mettez surtout pas la pression et profitez simplement de cette « période d’essai » à deux.
| ELLE | LUI | TOUS LES DEUX | |
| À FAIRE | Contrôler votre taux d’anticorps contre la rubéole et faire éventuellement un rappel | Veiller à ne pas porter des vêtements ou sous-vêtements trop serrés | Passer un examen chez un professionnel de santé de confiance |
| À ÉVITER | Voyager loin (le décalage horaire dérègle le rythme du sommeil ce qui a un impact sur le cycle menstruel) | Aller au sauna et utiliser des sièges chauffants | Utiliser du lubrifiant à base d’huile (modifie le milieu vaginal) |
Il faut contrôler votre taux d’anticorps contre la rubéole dès que vous avez décidé d’avoir un enfant et effectuer un rappel si cela s’avère nécessaire. Bien que la rubéole fasse partie des maladies infantiles, les adultes peuvent également la contracter. Si vous êtes enceinte, la maladie peut avoir un impact sur la santé de votre enfant. C’est pourquoi il est plus sûr, et également vivement recommandé, de prévenir une éventuelle infection dès que le désir d’enfant se fait sentir.
Est-il nécessaire d’établir un plan pour tomber enceinte ?
Votre cycle s’est stabilisé et vous vous réjouissez à l’avance avec votre partenaire ? Certains couples savent profiter de cette période de manière décontractée. Voici trois conseils pour rester épanouis et éviter les frustrations :
- profiter des jours fertiles
- avoir régulièrement des rapports sexuels
- rester optimistes
D’autres couples ont besoin d’un plan solide pour se sentir en maitrise au cours de cette période incertaine. Si vous appartenez à cette deuxième catégorie, le calculateur d’ovulation vous sera certainement d’une grande aide. Il vous permettra de mieux déterminer les jours fertiles. Même si planifier ses rapports sexuels peut paraître moins sexy, profiter des jours fertiles au moment de l’ovulation permet d’augmenter significativement les chances de tomber enceinte. Si cela fait déjà longtemps que vous essayez, vous pouvez par exemple planifier vos voyages d’affaires en dehors de la période fertile afin de ne pas rater un cycle.
Dans tous les cas, l’ovulation joue un rôle capital. Si vous souhaitez mettre toutes les chances de votre côté, nous vous conseillons notamment :
- Les applications de suivi des règles
- Les tests d’ovulation
- Le calculateur d’ovulation
- La planification familiale naturelle (PFN) avec un suivi de la température basale et de la glaire cervicale
Le cycle est analysé, ainsi que l’urine et le taux d’hormones ou encore la température basale, tout cela à la maison et de manière assez confortable. Vous avez déjà des enfants en bas âge qui déterminent le rythme de vos journées ou vous allaitez ? Dès lors, le suivi de la température basale n’est pas toujours pertinent, car il est notamment difficile de la prendre au moment opportun. Et surtout, vous avez envie de consacrer un maximum de temps à votre enfant déjà présent.
Avec notre calculateur de grossesse, vous pouvez calculer directement la date du terme éventuelle pour chaque cycle, si jamais cela a enfin fonctionné.
Conseils pour tomber enceinte : remèdes de grand-mère et alimentation saine
De manière générale, nous devrions tous avoir une alimentation saine, équilibrée et variée à base de produits frais. Entre le travail et les hobbys, il est parfois difficile de prendre le temps de bien manger. Bien entendu, grignoter, aller au fast-food ou manger une pizza surgelée de temps en temps ne pose pas vraiment problème. Dans notre région du monde, l’apport général en vitamines et minéraux est très bon et les carences sont donc peu fréquentes.
Toutefois, si vous pensez de plus en plus souvent à avoir un enfant, il est intéressant de passer en revue vos habitudes alimentaires. Cuisinez-vous principalement des aliments frais et équilibrés ? Y a-t-il éventuellement des choses à changer ?
| Pour ELLE | Pour LUI | |
| Compléments alimentaires | Acide folique, fer, iode et vitamine E | Vitamine C, vitamine E, vitamine B12, magnésium, zinc |
| Aliments | Graines de tournesol, germes de blé, huile de carthame, Weizenkeime, Distelöl | Paprika, citrons, huiles végétales, noix, produits laitiers, viandes, poissons et œufs, graines de potiron, fruits de mer, flocons d’avoine et fèves |
| Produits plaisir | Moins de caféine (1 à 3 tasses de café / jour, faire également attention aux sodas) et moins, voire pas du tout, d’alcool pendant les essais bébés, essayer aussi d’arrêter de fumer | Moins de caféine (1 à 3 tasses de café / jour, faire également attention aux sodas) et moins, voire pas du tout, d’alcool pendant les essais bébés, essayer aussi d’arrêter de fumer |
Votre gynécologue, et votre sage-femme si vous en avez déjà une, peuvent vous aider à modifier vos habitudes alimentaires si cela s’avère nécessaire. Il peut également être intéressant d’effectuer une analyse complète de votre sang, en particulier si vous avez déjà fait des fausses couches ou si cela fait longtemps que vous souhaitez avoir des enfants.
Compléments alimentaires utiles
Toutes les femmes qui souhaitent avoir des enfants doivent absolument prendre de l'acide folique dès la phase de planification. Souvent, les besoins en acide folique ne sont pas entièrement couverts, mais atteindre le taux souhaité prend du temps. C’est pourquoi il est utile de commencer à prendre des compléments en acide folique dès l’arrêt du moyen de contraception. Les compléments alimentaires contenant de l’iode, du zinc, du sélénium ou du fer doivent uniquement être pris après consultation de votre gynécologue traitant.
Votre gynécologue peut également vous prescrire des remèdes naturels :
- Gattilier (Agnus Castus) pour stabiliser votre cycle
- Infusion d’alchémille pour un cycle régulier et vous détendre
- Thé aux feuilles de framboisier pour un cycle régulier et favoriser l’ovulation
L’effet médical n’est pas toujours prouvé par des études, mais les différents thés et autres infusions sont tout de même conseillés comme « thé pour le désir d’enfant ». Si aucune intolérance avec certains composants n’est connue, boire jusqu’à 4 tasses de ces thés par jour peut s’avérer bénéfique.
Mythes autour de la conception
Il existe de nombreux mythes autour de la conception, la naissance ou l’allaitement. Certains se transmettent de génération en génération, sans pour autant permettre de tomber plus facilement enceinte. Exemples typiques :
- Utiliser une cup ou garder les jambes en l’air pour empêcher le sperme de couler
- Éviter ou adopter certaines positions qui stimulent la conception
- Faire preuve d’abstinence les jours non fertiles du cycle afin d’augmenter la qualité du sperme.
Difficultés à tomber enceinte
Lorsque tomber enceinte prend du temps, l’âge et le poids sont souvent à l’origine du problème. L’âge avançant, et en particulier à partir de 35 ans, la fertilité baisse aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Même si les hommes restent capables de procréer à un âge avancé, la probabilité de fournir des spermatozoïdes génétiquement sains diminue rapidement. Si un couple dans la trentaine ou la quarantaine souhaite avoir un enfant, les deux partenaires doivent être conscients que cela peut prendre plus de temps.
Présenter un IMC entre 20 et 22 s’avère particulièrement positif pour la fertilité. Si vous êtes significativement plus maigre ou que votre poids se situe bien au-dessus d’un IMC de 25, cela peut nuire à votre fertilité. Toutefois, l’IMC n’est qu’un facteur parmi tant d’autres. De manière générale, avoir un rapport positif à son corps, une alimentation saine et faire régulièrement de l’exercice est plus favorable que de se battre pour atteindre un certain IMC.
La fertilité chez les femmes
Grâce aux examens préventifs réguliers, les femmes parlent plus rapidement avec leur gynécologue de leur cycle et leur désir d’enfant. Et cela s’avère également primordial. Au fil des cycles, la pression et le stress augmentent à chaque nouvelle apparition des règles. Malheureusement, après un an d’essai bébé, les chances de tomber enceinte sans aide médicale chutent.
Mode de vie
Les éléments suivants peuvent entraver la conception :
- Mode de vie sédentaire
- Mauvaise alimentation
- Surpoids
- Consommation régulière de nicotine, drogues et alcool
- Stress
Causes hormonales
Différentes hormones sont nécessaires pour que l’ovule fécondé se nidifie sur la paroi utérine et puisse grandir et se développer correctement. Un déséquilibre hormonal peut diminuer la fertilité.
Les modifications de la thyroïde ainsi que son hyper- ou hypofonctionnement et surtout la thyroïdite de Hashimoto (maladie auto-immune) peuvent compliquer la conception. Si le diagnostic est établi, vous devez faire part à votre médecin spécialisé de votre désir d’enfant afin de pouvoir adapter votre traitement si cela s’avère nécessaire.
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) touche environ 6 à 18 % des femmes en Suisse et peut également expliquer que votre grossesse se fait attendre.
Causes physiques générales
Dès la naissance, chaque femme est dotée d’un certain nombre d’ovules pour toute la durée de sa vie. Toutes les femmes viennent au monde avec un bon million d’ovules. À la puberté, le nombre d’ovules ne s’élève déjà plus qu’à 300 000 environ. Et le stock ne fait que diminuer tout au long de notre vie. Certains ovules s’atrophient, d’autres suivent le cycle et sont libérés comme prévu. Le type de contraception ou la longueur du cycle exercent notamment un effet sur le nombre d’ovules restant lorsque le désir d’enfant se fait sentir.
Si la grossesse se fait attendre, il est possible d’évaluer le stock d’ovules restant à l’aide d’une prise de sang ou d’une échographie effectuée par un personnel médical spécialisé en gynécologie. Cela est d’autant plus pertinent pour un traitement ultérieur de la fertilité.
Les trompes de Fallope bouchées ou collées, l’endométriose (lorsque la muqueuse utérine se forme à l’extérieur de la cavité utérine, sur ou dans les organes voisins) et les modifications de l’utérus réduisent significativement les chances de tomber enceinte. Ces causes physiques doivent absolument être diagnostiquées et traitées le plus rapidement possible. De nombreux couples sans enfant malgré eux apprennent souvent après une longue période « d’essai » que des causes physiques qui peuvent être traitées sont à l’origine de leurs difficultés à procréer.
La fertilité chez les hommes
De manière générale, il est important que la femme ne soit pas la seule à traiter sa fertilité. Avec l’âge qui avance, la capacité de procréer diminue et donc les chances de concevoir un enfant ensemble également.
En outre, il existe plusieurs raisons qui peuvent expliquer pourquoi cela ne fonctionne pas toujours du premier coup :
| Mode de vie | Environnement | Pathologies préexistantes et causes médicales |
| Mode de vie sédentaire | Additifs alimentaires | Infection à chlamydia |
| Additifs alimentaires | Fernreisen (bringen den Schlafrhythmus durcheinander, was den Zyklus verändern kann) | Sauna und Sitzheizung |
| Mauvaise alimentation | Perturbateurs endocriniens tels que les phtalates, DEHP, DBP, BBP ou PCB (polychlorobiphényles) | Manque d’hormones mâles (androgène) |
| Surpoids | Métaux lourds tels que le plomb, le cadmium ou le mercure | Anomalies au niveau des testicules et du canal déférent |
| Consommation régulière de nicotine, drogues et alcool | Produits chimiques nocifs pour la santé présents dans les vêtements, les produits d’hygiène (par ex. triclosan), les meubles ou les murs | Tumeurs |
| Prise régulière d’anabolisants pour le développement musculaire | Canaux déférents coupés ou collés | |
| Stress |
Planifier une grossesse à risque
Parfois, le désir d’entant est entaché par des grossesses précédentes qui se sont soldées par une fausse couche, un enfant mort-né ou la nécessité de procéder à un avortement.
Le désir d’un autre enfant peut également se confronter aux souvenirs douloureux d’une césarienne ou d’un accouchement naturel avec des complications. Enfin, une première grossesse difficile peut également engendrer des angoisses à l’idée d’une nouvelle grossesse.
Pouvoir échanger avec d’autres personnes qui ont connu le même genre de situations est souvent salvateur. Vous pouvez également vous entretenir avec votre sage-femme et aborder vos peurs et éventuelles préoccupations. En outre, il existe de nombreux livres pour vous aider à travailler sur une éventuelle naissance traumatisante, le deuil et la perte. C’est essentiel, car chaque grossesse et chaque naissance sont uniques.
Tomber enceinte après une fausse couche
Vous avez peut-être déjà vécu une fauche couche ? Tomber enceinte après une fausse couche est quelque chose de stressant pour de nombreux parents. Ils ont peur de revivre cette expérience douloureuse. N’hésitez pas à parler de vos peurs avec votre sage-femme ou toute autre personne de confiance. Il existe différentes associations et divers groupes de soutien qui s’adressent aux parents qui ont dû faire face à une fausse couche ou à un enfant mort-né. Les parents y sont accueillis avec bienveillance. La douleur qu’ils peuvent ressentir face à cette perte et la peur de revivre une situation similaire sont entendues, comprises et en aucun cas ignorées.
En effet, il est particulièrement cruel de minimiser la peine que les parents peuvent ressentir à coup de « Vous aurez un autre enfant ! » ou « Qui sait ce qu’il avait ! ». Échanger avec d’autres parents qui ont vécu une situation similaire est d’autant plus important si vous vous sentez anxieux et stressés. En effet, la plupart du temps les paranges ont la chance de mettre au monde un autre bébé en bonne santé après quelque temps. Cela donne de l’espoir. Et le cœur rempli d’espoir, il est plus facile de surmonter ses peurs.
Dernier recours : la clinique de la fertilité
Pour de nombreux couples, la clinique de la fertilité constitue le dernier recours avant de renoncer à avoir un enfant ou se tourner vers l’adoption.
Dans ce cadre, les deux partenaires sont soumis à de nombreux examens. Cela permet souvent de trouver les raisons pour lesquelles la conception n’a pas fonctionné jusqu’à maintenant. Une fois ces informations connues et, le cas échéant, le traitement adapté administré, un nouvel essai est possible.
Si une fécondation naturelle n’est pas possible, d’autres possibilités s’offrent à vous :
- Insémination artificielle
- Don de sperme
Désir d’enfant inassouvi
Si le désir d’un (autre) enfant reste inassouvi, cela impacte souvent sévèrement le couple. Parfois, il n’y a pas d’explication. D’autres fois, ce sont des maladies préexistantes, des traitements, des restrictions médicales ou la situation financière tendue qui empêchent la famille de s’agrandir. Toutefois, le désir d’enfant ne disparaît pas pour autant et cela peut s’avérer difficile à vivre.
Parfois, l’un des deux partenaires ne souhaite pas avoir (d’autre) enfant et l’autre doit vivre avec ce manque. Dans certains cas, cela peut signer la fin de la relation.
Les disputes sont de plus en plus fréquentes au sein de votre couple ? Dans ce cas, l’aide d’un professionnel peut vous sortir de l’ornière avec une thérapie de couple ou familiale. Bien entendu, il ne s’agit pas d’« ignorer » le désir d’enfant, mais de trouver une base commune de compréhension et d’acceptation. En effet, le désir d’enfant est souvent ancré au fond de soi et ne s’efface jamais complètement.
